FloriLettres

FloriLettres est une revue littéraire, numérique et mensuelle créée en 2002 par Nathalie Jungerman pour la Fondation La Poste. Consacrée à l'écriture épistolaire, biographique et autobiographique, elle promeut les livres et les manifestations culturelles à travers un choix de correspondances, journaux personnels, essais, carnets, récits ou romans. Chaque édition offre un dossier sur un sujet particulier qui comprend une introduction, un entretien, un portrait et des extraits. Un article critique, des chroniques sur une sélection d'ouvrages ainsi qu'un agenda complètent le numéro.

stéphane Mallarmé-Correspondance
Lettres et extraits choisis

Lettres choisies - Stéphane Mallarmé

édition février 2019
Mon cher papa, J’avais appris un compliment, Et j’accourais pour célébrer ta fête, On y parlait de sentiment, De tendre amour, d’ardeur parfaite ; Mais j’ai tout oublié,
Manuel Cornejo, devant la porte du jardin de la maison de Maurice Ravel à Montfort-l'Amaury, Le Belvédère. (D.R.)
Lettres et extraits choisis

Lettres choisies - Maurice Ravel

Que cette nouvelle adresse ne vous trompe pas, mon cher ami : je n’ai pas bougé. Les sections passent ; moi, je reste.
lettre autographe de Heinrich Böll à sa mère
Lettres et extraits choisis

Lettres choisies - Heinrich Böll

édition novembre 2018
Souvent, ces ouvriers français en guenilles qui nous croisent sur leurs vélos antédiluviens et boueux, et qui nous regardent avec indifférence, me font l’effet de jeunes dieux
Reproductions de lettres de Pierre-Bergounioux et Jean-Paul-Michel
Lettres et extraits choisis

Lettres choisies - Pierre Bergounioux et Jean-Paul Michel

édition octobre 2018
Mon cher Jean-Paul, L’entretien indécis que nous avons eu samedi matin a continué à me turlupiner. On ne peut plus, à notre âge, rester irrésolu quand il ne semble pas catégoriquement impossible d’être fixé.
Pauline Delabroy-Allard, photo
Lettres et extraits choisis

Extraits choisis - Pauline Delabroy-Allard, Ça raconte Sarah

édition septembre 2018
Je lui demande comment elle définirait la latence. Elle penche un peu la tête quand je lui explique que j’ai ce mot en surimpression sur les images de ma vie, qu’il ne quitte pas mon esprit, que je ne sais pas très bien pourquoi mais qu’il m’obsède