FloriLettres est une revue littéraire, numérique et mensuelle créée en 2002 par Nathalie Jungerman pour la Fondation La Poste. Consacrée à l'écriture épistolaire, biographique et autobiographique, elle promeut les livres et les manifestations culturelles à travers un choix de correspondances, journaux personnels, essais, carnets, récits ou romans. Chaque édition offre un dossier sur un sujet particulier qui comprend une introduction, un entretien, un portrait et des extraits. Un article critique, des chroniques sur une sélection d'ouvrages ainsi qu'un agenda complètent le numéro.
« Californie ! Californie ! » : Restitution des ateliers d’écriture menés par Véronique Ovaldé & Thomas B. Reverdy, samedi 30 mars 2024 à la Maison de la Poésie de Paris.
Dans un monde dominé par les hommes, leurs correspondances font œuvre littéraire à part entière, alors même que, l’espace public leur étant interdit, ces épistolières, n’avaient aucune ambition et ne revendiquaient pas le statut de femmes de lettres. Historienne, spécialiste du XVIIIe siècle – ce grand siècle de la correspondance – Cécile Berly dresse le portrait de ces figures féminines
Très tôt dans la vie de Michel Butor, communiquer ce fut écrire. Ce fut d’abord écrire sur les lèvres, sur ses propres lèvres d’enfant, afin que sa mère, atteinte de surdité précoce, puisse lire.
C’est le premier jour du printemps, la saison gracieuse. Ce grade correspond à un entrelacs de phénomènes réjouissants comme retour de la lumière, la renaissance des végétaux, les jours fériés, les amours, les fraises, les asperges, les poètes, les merles et les hirondelles, les agneaux et les cochons de lait, la floraison.
Doctorante en littérature française au sein de l’équipe Handling, Pauline Basso prépare une thèse autour des gestes d’assemblages d’écrivains (Michel Butor, Marguerite Duras et Claude Simon) et de leurs processus créatifs. Adèle Godefroy est photographe, enseignante et chercheuse. À la suite de sa rencontre avec Michel Butor en 2013, elle a fait une thèse sur l’étude des interactions entre la pratique photographique du poète et son écriture. Mireille Calle-Gruber est écrivain, professeur de littérature et esthétique à La Sorbonne Nouvelle
« Les messagers de Michel Butor sont des anges de papier. Chacune des cartes postales est pourvue d’ailes bigarrées qu’il a collées par le fragile arrimage de larges bandes scotch de couleur », écrit Mireille Calle-Gruber dans sa préface au livre de Pauline Basso et Adèle Godefroy. Ces dernières ont réuni dans cet ouvrage une sélection de ces courriers artistiques que l'auteur, né en 1926, a envoyés à ses correspondants pendant plus de quarante ans, jusqu’à sa mort en 2016.
Philosophe, poète, romancier, professeur, théoricien sur la musique, sur la peinture, créateur de livres d’artistes, voyageur, photographe, assembleur doué de cartes postales et de collages, il va parcourir le monde, à la recherche du renouvelleme
L’édition annuelle du Printemps des Poètes est un événement poétique d'ampleur nationale capable de fédérer à la fois les poètes, les éditeurs, les libraires, les scolaires, les communes, les institutions culturelles, les organisateurs de manifestations littéraires, ainsi que le grand public. Le partenariat avec La Fondation La Poste est lié à l’impression de grande qualité de 100 000 cartes postales, associées à l’œuvre-vitrail de Fabienne Verdier. Du 9 au 25 mars
Professeur de Sciences Politiques à la Sorbonne, l’auteur s’interroge un jour sur la localisation des lieux où les enfants déportés avaient été arrêtés, et s’aperçoit qu’une adolescente déportée avec sa tante un 28 octobre 1943, habitait à quelques mètres de chez lui
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