FloriLettres

FloriLettres est une revue littéraire, numérique et mensuelle créée en 2002 par Nathalie Jungerman pour la Fondation La Poste. Consacrée à l'écriture épistolaire, biographique et autobiographique, elle promeut les livres et les manifestations culturelles à travers un choix de correspondances, journaux personnels, essais, carnets, récits ou romans. Chaque édition offre un dossier sur un sujet particulier qui comprend une introduction, un entretien, un portrait et des extraits. Un article critique, des chroniques sur une sélection d'ouvrages ainsi qu'un agenda complètent le numéro.

Couverture du livre Commencements de Catherine Millet avec photo de l'auteure
Portraits d’auteurs

Catherine Millet, Commencements. Par Corinne Amar

édition septembre 2022

Pour la revue Transfuge qui consacrait à sa rentrée littéraire* un entretien avec Catherine Millet, cette dernière répondait au journaliste, Vincent Jaury qui lui posait la question : Le temps qui passe ne vous effraie pas du tout ?
- Non. J’ai mis en place un système très au point qui est de continuer à vivre avec moi-même beaucoup plus jeune, en faisant revivre ces périodes de mon passé !

couverture de Maxime Gorki, Lettres à ses fils (photos de l'écrivains et de ses fils)
Portraits d’auteurs

Maxime Gorki - Portrait et Lettres à ses fils. Par Corinne Amar

édition avril 2022
Lorsqu’en 1868, à Nijni Novgorod, dans la partie centrale de la Russie européenne au confluent de la Volga et de l'Oka, naît celui qu’on considéra en littérature comme l’un des fondateurs du réalisme socialiste, Alexeï Pechkov (nom de plume : Maxime Gorki), paraissent cette même année, Guerre et paix, de Léon Tolstoï (1828-1910) et Pères et Fils, de leur aîné, Ivan Tourgueniev (1818-1883).
Photo en noir et blanc de François Truffaut, de face, portant des livres sous le bras
Portraits d’auteurs

François Truffaut : Portrait. Par Corinne Amar

édition mars 2022

Né à Paris en 1932, François Truffaut meurt en 1984, à l’âge de cinquante-deux ans. Qui était-il, ce cinéaste de la passion dont le domaine de prédilection fut le monde des sentiments ?

Marguerite Duras et Michelle Porte sur le tournage de Véra Baxter, 1976
Portraits d’auteurs

Michelle Porte, Marguerite Duras. Correspondance et portrait croisé. Par Corinne Amar

édition février 2022
Michelle Porte est réalisatrice, documentariste et scénariste. Des traces écrites sur elle, d’elle, il en est peu, comme si elle leur préférait ce qui parle pour elle, l’image ou la parole – le film, l’entretien. En trente années de réalisation, elle posa sa caméra et son regard sur des portraits d’artistes, figures historiques, cinéastes, peintres, écrivains
Couverture de la Correspondance de Clarice Lispector : photo de l'écrivaine de profil
Portraits d’auteurs

Clarice Lispector : Portrait et Correspondance. Par Corinne Amar

édition Janvier 2022
Clarice Lispector, écrivaine, romancière, voyageuse, épistolière ; elle fut cette figure mythique qui fascina ses compatriotes et dont le visage même, de Sphynx, captivait tant, qu’il orna dans les années 2010 au Brésil, des timbres-poste ; Clarice Lispector, Brésilienne et juive, née en Ukraine, en 1920, morte en 1977, à Rio de Janeiro. Sa correspondance intégrale1, parue aux Éditions des femmes-Antoinette Fouque, est une manière d’ouvrir ou réouvrir, en même temps que ses lettres – laboratoire d’une partie importante de son œuvre
Photo (en couleur) d'Antoine Wauters et Laura Vazquez, ©N. Jungerman
Portraits d’auteurs

Discours des lauréats • Prix Wepler Fondation La Poste

édition décembre 2021
Avec « Mahmoud ou la montée des eaux », j’ai voulu parler de la violence contemporaine en plongeant dans la réalité de la guerre en Syrie. J’ai voulu regarder cette réalité-là droit dans les yeux, sans m’en détourner.
Philippe Druillet,  planche 16 de Salammbô, 1980
Portraits d’auteurs

Gustave Flaubert, « Salammbô ». Par Corinne Amar

édition novembre 2021
« Je vais écrire un roman dont l’action se passera trois siècles avant Jésus-Christ, car j’éprouve le besoin de sortir du monde moderne où ma plume s’est trop trempée et qui d’ailleurs me fatigue autant à reproduire qu’il me dégoûte à voir », écrit Gustave Flaubert (1821-1880), ce 18 mars 1857