FloriLettres

FloriLettres est une revue littéraire, numérique et mensuelle créée en 2002 par Nathalie Jungerman pour la Fondation La Poste. Consacrée à l'écriture épistolaire, biographique et autobiographique, elle promeut les livres et les manifestations culturelles à travers un choix de correspondances, journaux personnels, essais, carnets, récits ou romans. Chaque édition offre un dossier sur un sujet particulier qui comprend une introduction, un entretien, un portrait et des extraits. Un article critique, des chroniques sur une sélection d'ouvrages ainsi qu'un agenda complètent le numéro.

Photo de Grégory Le Floch par Arnaud Delrue
Entretiens

Entretien avec Grégory Le Floch. Propos recueillis par Nathalie Jungerman

édition novembre 2020
Né en 1986, Grégory Le Floch est l’auteur de Dans la forêt du hameau de Hardt (Éditions de l’Ogre, 2019), roman pour lequel il a reçu la Bourse de la découverte de la fondation Prince Pierre de Monaco. Il vit et travaille à Paris. Grégory Le Floch a reçu le prix Wepler-Fondation La Poste 2020 pour De parcourir le monde et d'y rôder, son deuxième roman, publié aux éditions Christian Bourgois.
affiche de l'exposition Renaud (deux jambes arquées)
Agenda

Agenda octobre - novembre 2020

édition octobre 2020
L’exposition propose un parcours initiatique en forme de paysages, entre imaginaire musical et histoires vécues. Des archives inédites découvrent les racines poétiques et familiales de cet enfant de la porte d’Orléans, amoureux de Paname.
Couverture du livre de Dima Abdallah, Mauvaises herbes
Édito

Édito octobre 2020. Par Nathalie Jungerman

« Mauvaises herbes » de Dima Abdallah • Prix « Envoyé par La Poste » 2020
Le jury de la 6e édition du prix « Envoyé par la Poste » a récompensé, cette année, Dima Abdallah pour son premier roman intitulé Mauvaises herbes, paru en août dernier chez Sabine Wespieser. L’auteure, née à Beyrouth en 1977, décrit une relation entre un père et sa fille dans un contexte qu’elle a connu : la guerre civile libanaise. Les souvenirs et les sensations de Dima Abdallah s’infiltrent dans la narration à deux voix qui compose le roman, alors même que ses personnages luttent chaque jour contre leur mémoire pour effacer toutes les images qui dérangent.